Je le disais dans un article précédent, 2020 sera définitivement l’année de la maison !

Cette année, nos besoins ont changé, on veut :

• • Se ressourcer

• • Retrouver de la sérénité

• • Faire face à de nouvelles règles

Et puisqu’il vaut mieux en tirer du positif au lieu de se morfondre, cette année nous oblige à ralentir. Ce qui est plutôt une bonne chose, globalement.

Elle nous pousse à revoir nos priorités et nos valeurs, pas si mal non plus !

De nouvelles exigences

Dans ces cas-là, il ne sert à rien de résister. Car plus on résiste, plus on en souffre.

Plus on souffre, plus on stresse et plus notre immunité baisse… La boucle infernale.

Pourtant notre foyer est notre refuge. Notre bouclier face aux agressions extérieures.

C’est pourquoi, il est désormais devenu capital de mettre le paquet sur notre chez nous, notre port d’attache.

Ce n’est plus uniquement une option, mais bien une exigence. Il est de notre responsabilité de créer ce nouveau refuge.

Face au chaos :

• • On se fait plaisir

• • On écoute ses ressentis

• • On refuse les compromis

• • On prend soin de soi

• • On peaufine sa déco

Comment ?

En se tenant le plus possible éloigné des chaînes d’info en continu, mieux en arrêtant tout bonnement de les regarder. Elles pompent notre énergie comme un vampire.

En préférant écouter la radio 1 fois par jour. C’est concis, rapide, « sobre », moins anxiogène.

Pour ne pas rentrer dans leur jeu du « je te tire vers le bas ».

Les interdictions, au fond, c’est chouette !

• • Vive le système D

La débrouille, c’est vraiment l’éclate ! Elle nous oblige à sortir des sentiers battus, à aller chercher des ressources insoupçonnées.

• • C’est bon pour la planète

On consomme différemment, moins, mieux.

On apprend à faire seul – face aux interdictions, face à la pénurie – et on y arrive !

• • On fait plus simplement

Et franchement rien qu’avec ce seul point on gagne en énergie et donc en bien-être.

• • On se recentre sur soi

Et il était temps !

On prend davantage son temps, on s’occupe de soi.

On a enfin le temps de monter en compétence sur des sujets qui nous passionnent.

On entend souvent dire qu’il faut 21 jours pour changer des habitudes (d’après une étude du docteur Maltz chirurgien américain des années 60).

On aurait donc dû voir des changements à grande échelle dès la sortie du confinement…

Pourquoi ça n’a pas fonctionné ?

• • Il y a ceux qui se contentent d’être dans la peur sans réfléchir

• • Il y a ceux qui ne croient plus en rien (et au fond, qui oserait les blâmer ?)

• • Il y a ceux qui n’ont toujours pas fait le lien entre immunité et stress

• • Il y a ceux qui… s’en fichent éperdument

L’épouvantable gestion de cette crise nous donne plusieurs indications sur l’état de la société, et l’état d’esprit de l’Humanité :

On vit dans la peur permanente.

On n’a plus le pouvoir sur nos vies, ni plus la liberté de décider ce qui est bon pour nous ou pas.

Notre président le fait à notre place.

Nous sommes infantilisés, sans défense.

La société entière tourne au cauchemar.

Nous ne savons pas maîtriser nos colères, ni nos émotions en général.

Nous sommes comme des animaux en cage.

Les polémiques sont légion.

Notre maison, notre carapace

Pendant que tous bavassaient à refaire le monde, à juger ceci ou cela, à critiquer le voisin, moi j’ai refait mon intérieur.

Depuis la fin du premier confinement, j’ai pris grand soin à le modifier. À changer les énergies. J’ai passé des heures (confinées) à écouter les bruits, les résonances, à sentir les flux.

Quelque part au fond de moi, je sentais qu’il le fallait. Que tout était loin d’être terminé.

Car oui, notre logement va désormais devenir important et avoir un impact considérable.

Puisque notre environnement a le pouvoir de nous modifier (notre humeur, notre énergie…).

Il va falloir considérer cette nouvelle donnée pour mettre en place le plan de « contre-attaque ».

Si on rentre chez soi et que rien ne nous convient, alors on va avoir un sérieux problème pour résister.

La circulation des flux d ‘énergie

La bonne circulation des flux conditionne le bien-être de toute la maisonnée.

La circulation des différentes pièces va avoir un impact sur l’énergie et donc la vôtre, habitant du lieu.

Les aller-retour incessants (et fatigants)

Les pièces de repos à l’entrée

Les endroits étriqués, mal éclairés

La cuisine trop éloignée de la salle à manger

La chambre beaucoup trop spacieuse…

La circulation doit répondre à notre façon de vivre. Il convient en premier lieu de scanner tous les besoins de la famille.

Les couleurs, l’ambiance

Les couleurs participent à notre bien-être. Elles nous évoquent des sentiments, des émotions.

L’ambiance doit à la fois nous apaiser ET nous stimuler. Ni trop, ni trop peu.

Notre confort visuel en dépend et tous les autres sens découlent de ce confort (ou inconfort).

Apprenons à reconnaître ce qui nous apaise, ce qui nous ressource.

Savez-vous par exemple que le beige est une couleur de l’équilibre en feng shui ?

Présente dans la nature, cette couleur yin représente la stabilité. Le beige nous lie avec ce qui nous entoure. Un ancrage nécessaire pour éviter de perdre pied !

Très facile à associer, voici un bon point de départ 😉

La lumière

C’est une composante essentielle du bien-être.

On mise tout sur l’éclairage. Quitte à en faire trop !

Les technologies actuelles sont vraiment très performantes et font la différence.

J’ai choisi le panneau led à l’éclairage puissant et doux pour les yeux (on peut le fixer sans être ébloui) pour mon bureau. Effet lumière du jour intense – j’avais un peu peur que ça fasse couloir d’hôpital, il n’en est rien, choix validé !

La procrastination, notre pire ennemie

Vous vouliez changer ce papier-peint depuis longtemps ? Faites-le sans attendre !

Votre cuisine à repeindre ? Le meilleur moment c’est maintenant 😉

Tout le reste n’est qu’excuse et perte de temps précieux. Car oui, le dernier smartphone peut bien attendre 😀

Il ne nous aidera pas dans la lutte qui nous attend, au mieux (ou au pire) il nous tiendra informé plus rapidement !

Plus sérieusement, pour pouvoir se réjouir d’être chez soi, il faut arrêter de subir ce qui ne convient pas. Pas de compromis, uniquement la promesse de vouloir ce qui est mieux pour nous.

Mais au fait, ma maison me ressemble ou je ressemble à ma maison ?

C’est un peu le jeu de la poule et de l’œuf, dont la clé serait le bien-être…

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